ANNE
EPERLE
.................................Mes Textes...............................
SUR MON COEUR
Mais sur mon cœur, il est tombé
La couleur rose de tes pensées
Et notre histoire a commencé
Sans peur
Au milieu des gens animés
Nos esprits se sont amusés
Quelques regards auront laissés
Sans heurt
L’autre, celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
Dans cette folie froide et amère
Un petit vent, un souffle d’air
Donnant à nos vies ordinaires
Une force
Créant aux rythmes de nos cœurs
Un élan venu de naguère
Effaçant tout ce secondaire
S’efforce
L’autre, celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
L’autre celui qui transforme le temps
Celui qui vous comprend vraiment
Une empreinte posée par hasard
Au détour de nos grands espoirs
Mais sur mon cœur, il est resté
Une lueur tendre et sacrée
Et notre histoire a continué
Sans leurre
MON AME SOEUR
Dans cette absence ma déchirure
J’écoute les échos de mon cœur
J’ai tant cherché cet amour sur
Toi oui toi, mon âme sœur
Et dans ce décor je t’espère
Tout près de moi de ma fureur
Alors je t’attends et me perds
Te rêvant toi, mon âme sœur
Coule l’eau le long de mes sanglots
Souffle l’air au travers de mes peurs
Brûle le feu en moi de ta peau
Redescends sur ma terre mon âme sœur
Dans ce présent plus de blessure
Je respire ton corps, ta douceur
Notre univers unique et pure
Tu es tout près, mon âme sœur
Dans cette alcôve, quelques murmures
De nos deux êtres, l’amour majeur
Personne au monde pas même la peur
Ne peut m’arracher mon âme sœur
Flotte dans l’air, amour infini
Envahit la lune, toi l’inédit
Empreinte de nos échanges du cœur
L’un et l’autre blottis comme deux âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âmes sœurs
Des âaaames sœurs
PLUME BLEUE MAUVE
Tous mes pas se sont inscrits
Dans le ciment de la vie
Tous mes choix étaient écrits
Dans la sagesse infinie
J’ai dans le creux de mes mains
Toute l’histoire de mes vies
Passé, présent et la fin
L’éternel est-il ici ?
J’ai dans les doigts
La langue des oiseaux
Je porte en moi
Les écrits de « Hugo »
Et ma plume m’invite
A dire tous mes maux
Plume bleue-mauve
Plume bleue-mauve
Oui, je voudrais vous dire
Ce qui est en sommeil
Des pensées aux souvenirs
Qui souvent m’émerveillent
A la source du juste
Vieille âme qui revient
Accompagner l’injuste
Dans les traits d’un destin
J’ai dans les doigts
La langue des croyants
Je me souviens d’avant
De ce temps
Ma plume guidant mes pas
Mieux qu’un homme qui voit
Plume bleue-mauve
Plume bleue-mauve
Plume bleue mauve
UN MONDE A L ENVERS
Sur les visages se dessinent
Des traits d’humeur sans origine
Je vois quelqu’un qui me devine
Peut-être que j’attends un signe
Et dans ses yeux, pas de lumière
Il a du passer 3 hivers
Y’a des remous qui rendent amer
Sur fond de bleu, j’vois plus la mer
J’ai l’impression d’un monde à l’envers La sensation que je vais manquer d’air J’ai l’impression d’un monde à l’envers Y’a qu’des figures sans caractère
Comme le manteau de l’indifférence
Coûte bien moins cher à enfiler
On ne se demande plus pourquoi
Ou est donc l’amour ici-bas
Comment est-ce qu’on a oublié
Ce que veut dire de partager
Qui ainsi nous a transformés
Au point de n’plus pouvoir ôter
J’ai l’impression d’un monde à l’envers La sensation que je vais manquer d’air J’ai l’impression d’un monde à l’envers Y’a qu’des figures sans caractère
Cette écharde qu’on a dans le cœur
Celle qui fait mal, qui fait saigner
Faudrait qu’on puisse nous l’arracher
Mais pour ça, il faudra donner
Dès lors que la porte est fermée
Non pas fermée mais verrouillée
Comment faire pour nous délivrer
Recommencer et tout changer
J’ai l’impression d’un monde à l’envers La sensation que je vais manquer d’air J’ai l’impression d’un monde à l’envers Y’a qu’des figures sans caractère
J’ai l’impression d’un monde à l’envers Si nous regardions la misère
Au pays du tu auras mieux
Rendus au rôle de malheureux
LE MAGICIEN
A regarder passer
Les souvenirs voler
Sur une feuille morte
Qu’une saison emporte
J’ai enveloppé mes mots
Dans un tissu de peine
Toi qui regarde d’en haut
Couler mes matins blêmes
J’ai refermé mon cœur
Qu’un orage a brisé
Mes sanglots et mes pleurs
N’y pourront rien changer
Et puis je vois
Autour de moi
Brille une toile
L’artiste peintre
Qui de ses doigts
M’offre les étoiles
Le magicien
Entre ses mains
Orchestre un chant d’étoiles
A regarder derrière
Les souhaits inachevés
Faire tomber les barrières
De ce sentier rongé
Par le manque de tendresse
Celle que tu as laissée
En partant sans adresse
Que j’ai en vain cherchée
Mais comme un doux poème
Quand le ciel m’étincelle
Mes bleus à l’âme viennent
Chasser les hirondelles
Et puis je vois
Autour de moi
Brille une toile
L’artiste peintre
Qui de ses doigts
M’offre les étoiles
Le magicien
Entre ses mains
Orchestre un chant d’étoiles